Recension de Katarina Tangari, Mémoires de prison
Marie-Louise FORESTIER
+ Mémoires de prison
Madame Tangari est née le 10 mars 1906 et décédée le 1er décembre 1989 après une vie de prière, de souffrance et de dévouement hors du commun. Elle eut la grâce de connaître le padre Pio en 1950 et fut sa fille spirituelle jusqu’en 1968, date de la mort du père. Sur son conseil, elle se lance dans un apostolat difficile qui consiste à aider les prêtres persécutés derrière le rideau de fer. Les débuts sont ingrats car son entourage ne la soutient pas et elle ne dispose pas du moindre sou pour commencer. Femme d’une très grande foi, elle obtiendra par la prière et le sacrifice de nombreux dons pour aider les prêtres et pour financer ses voyages (et ce jusqu’à la fin de sa vie). De 1964 à 1971, elle a ainsi passé plus…